Notre équipe de reporters rencontrait Gertjan Vande Velde, ailier de notre équipe première, arrivé cette année en provenance de Booischot ! Découvrez ci-dessous l’interview exclusive !!!
Salut Gertjan, alors raconte nous : quel a été ton parcours dans le volley avant d’arriver à l’Axis Guibertin ?
J’ai commencé à jouer au volley quand j’avais 10 ans dans un club local, SMASH Neerijse. J’ai joué trois saisons dans ce club avant de partir au VCV Leefdaal-Bertem. Là aussi, j’ai joué trois ans et puis je suis parti pour jouer à VH Leuven pour 4 saisons. J’ai ensuite joué deux saisons à Mendo Booischot, et maintenant je suis arrivé ici, à AXIS Guibertin.
Pourquoi avoir choisi Guibertin comme nouveau challenge ?
Evidemment, je connaissais le club et le palmarès d’AXIS Guibertin depuis longtemps grâce à ses nombreuses années en Ligue A. J’ai choisi AXIS Guibertin parce que le club est le plus professionnel en Ligue B/Nationale 1 et c’est un club familiale avec beaucoup d’ambition, ce qui est aussi important pour moi. J’ai l’ambition de devenir un meilleur joueur et je suis sûr que je suis à la bonne place ici pour réaliser cela. J’avais besoin d’un nouveau ‘challenge’ pour progresser et la proposition de Guibertin était tout ce que je voulais : jouer le top en Ligue B (ou même en Ligue A), m’entrainer dans un environnement plus professionnel, et être capable de combiner tout cela avec mes études. J’ai toujours eu l’opportunité de travailler avec des entraîneurs excellents dans le passé, et j’ai à nouveau de la chance avec Filip et Wannes, qui m’ont déjà appris beaucoup de choses.
Que penses-tu de ta nouvelle équipe ? Comment s’est passée la préparation ?
On a une très chouette équipe et je me sens vraiment bien dans le groupe. Je pense que je suis bien intégré et on s’entend tous très bien, ce qui est très important pour moi. Je suis très content ici !
On n’a pas eu une préparation comme avant un ‘saison normal’, c’est à dire moins de matches amicaux, sans s’entrainer avec toute l’équipe au début. Toutefois, je trouve que le club et le staff ont fait des grands efforts pour trouver des solutions et je pense qu’on est tous d’accord pour dire qu’on a eu la meilleure préparation possible en tenant compte la situation Covid-19.
Comment as-tu vécu le confinement du début d’année ?
Avec Mendo Booischot on devait encore jouer de beaux matches à la fin de la saison passée : la finale de la Coup d’Anvers contre Noorderkempen et le match pour la troisième place en Ligue B face à Amigos Zoersel. C’était donc très dur pour moi de ne pas pouvoir les jouer. Aussi parce que c’était une opportunité de dire au revoir à Booischot avec une prestation historique car le club n’avait jamais pu atteindre le top 3 en Ligue B.
Quand le volley s’est arrêté, j’avais tout à coup beaucoup de temps libre. Comme je n’aime vraiment pas de ne rien faire et voulais rester en forme, j’ai cherché un nouveau passe-temps. J’ai donc commencé à faire du VTT et, à part ça, un peu de fitness à la maison. J’avais aussi des examens en juin et la première partie de mon mémoire à finir, donc je ne me suis pas trop ennuyé. En juillet et août, j’ai aussi joué au beach-volley quelques fois pour avoir de nouveau un peu de contact avec ballon.
Comment as-tu vécu ce nouvel arrêt de la compétition?
Ce n’est pas une grande surprise, mais ça reste quand même un coup dur. On a joué seulement un match officiel, donc c’est difficile de maintenir la bonne forme parce qu’il n y a pas vraiment le ‘flow’ comme pendant un saison normale quand les matches se succèdent vite. Désormais, on va s’entrainer comme si on avait match tous les week-ends, avec un bon focus, car on doit toujours être en forme pour gagner les matches en Ligue B. Il n’y a pas de matches faciles dans cette série, donc on doit toujours être prêt pour jouer à 100% de notre capacité pour gagner. Je suis sûr que Filip et Wannes vont trouver des solutions, afin de respecter les mesures de ‘social distancing’ aux entrainements.
En dehors du volley, tu termines tes études de kinésithérapie je crois ?
Oui, je fais mes études de kinésithérapie à la KU Leuven. Je suis en deuxième master, donc la dernière année maintenant. Il me reste encore 3 mois de stages, terminer et présenter mon mémoire et quelques examens avant d’être un kinésithérapeute diplômé. Je ne sais pas encore si je vais commencer à travailler ou bien faire une année de master en plus. On va voir ce que le futur m’apporte !
