La saison du 20ème anniversaire. Une saison de joie, mais des moments de tristesse intense avec la disparition tragique dans un accident de moto d’un espoir du club. Bye bye Marc, mais nos larmes sont encore chaudes sur notre visage et dans nos cœurs. T’étais souvent pelant, mais on t’aimait bien. Salut l’artiste, mais on te salue avec la montée en Nationale 2 de ton équipe. Oui, tu le voulais, nous l’avons fait, même si ce fut en dernière minute…
La saison du 20ème anniversaire. Personne ne s’y attendait, mais en termes de résultats, il faut bien dire qu’elle est l’une des  plus exceptionnelle que le club ait connu. Quel remarquable bilan d’ensemble ! Titres de champion pour la Nationale 2 (équipe 2) et la Provinciale 2 (équipe 4), places de vice-champion pour la Nationale 1 (équipe 1) qui est première réserve pour la montée en… division d’honneur, oui, l’élite belge !, et pour la Nationale 3 (équipe 3) qui, deuxième du tour final pour la montée, est aussi promue en Nationale 2.
Derrière cela, il y a la razzia des distinctions brabançonnes en pupilles filles, pupilles garçons, minimes garçons, cadets et juniors, avec au passage, un titre de vice-champion francophone dans cette dernière catégorie et une 4ème place au championnat de Belgique. Bravo à tous, aux entraîneurs et aux joueurs !
En 2002-2003, le club alignera donc 2 équipes en Nationales 1 et 1 en Nationale 2, ce dernier niveau étant celui après lequel nous avions couru désespérément pendant six ans ! Avec en dessous, 1 Provinciale 1, 3 Provinciales 3, dont une de jeunes, et… grande première, deux équipes féminines (Provinciales 1 et 3) suite à l’accord de fusion avec Perron. Sans oublier deux équipes de loisirs et une kyrielle d’équipes de jeunes sous la direction éclairée de Francis Buekenhout.
Pourtant la saison commença mal, très mal. Nous devions jouer notre première rencontre internationale à Mont-Saint-Guibert contre le Nigéria. L’ambassadeur de ce pays devait venir serrer la main de notre bourgmestre chéri, tandis que le directeur du centre sportif, Jean-Yves Mercier, s’était décarcassé pour trouver un drapeau nigérian à monter à l’entrée du parking. Tous les jeunes avaient préparé leur carnet pour les autographes. Et puis, trois jours avant, début septembre, patatra, la fédération annonce que les Africains ont disparu dans la nature. En fait, à la douane à Zaventem, ils n’y ont vu que du feu. Pourtant, dans cette (fausse) délégation, il n’y avait personne qui dépassait le mètre 75…
Fort déçu par cet échec, Eric décida de rompre unilatéralement tout contact avec l’Ethiopie. Car, entretemps, Jean Fiasse, un des joueurs de la première heure du club qui travaille actuellement là -bas comme kiné, avait proposé un échange culturel et sportif avec ce pays. Mais nous aurions dû nous envoler là -bas aux alentours de Pâques avec du matériel, des filets, des ballons. Et les épouses auraient dû payer le ticket. Mais comment serions-nous revenus ???
Sans Philippe Vanescote qui ne souhaitait pas continuer son expérience à la tête de l’ équipe fanion, le club fit appel au sorcier qui lui permit de rejoindre l’élite francophone. Il débarqua chez nous il y a tout juste dix ans. Koen Hoeyberghs était donc de retour… mais en duo avec Herman Vleminckx, car, sa petite famille s’étant agrandie, le Louvaniste, toujours trentenaire, ne pouvait être disponible trop souvent en soirée. Pendant toute la saison, l’équipe, renforcée par le terriblement motivé Stéphane Franchimont (ex-Walhain) et Gert Geysels, un double mètre importé par Jurgen, flirta avec la tête de la division, laissant filer Breendonk vers un titre mérité. Pour finalement terminer deuxième, avec 8 défaites, malgré une dernière sortie décevante à Wevelgem, mais après quelques six succès consécutifs et une kyrielle de blessures en fin de saison. Et il faut aussi mettre en valeur le fabuleux parcours en coupe de Belgique. Des succès face à Herentals et Nazareth, avant un déplacement à Saint-Vith, pensionnaire de division d’honneur. Et là , après 2-0 pour les Germanophones, l’exploit et un succès à l’arraché au tie-break sur le score de 14-16. Qualifié pour la première fois de son histoire pour les quarts de finale de la coupe nationale, le club allait recevoir Lennik, un prestigieux adversaire. L’aller fut organisé dans le cadre de la soirée culturo-sportive, qui en était à sa deuxième édition. Aga Winska, lauréate du concours Reine Elisabeth il y a quelques années, en lever de rideau avant un magnifique set face à une des formations du Top 4 belge. L’exploit s’arrêta là et le souper au Piano II fut tellement indigeste que les Guibertins frisèrent le ridicule le lendemain dans la salle zellikoise. Certains transpiraient encore, semble-t-il, des effluves des frites corbaisiennes.
En équipe 2, Bart Goossens, tiens encore un Louvaniste, entamait sa… sixième saison à la tête de cette formation. Trois ans, un arrêt d’un an, et puis le retour. Et ce n’est pas fini, il y en eut encore bien d’autres par la suite. Mais l’ancien joueur de Sipico est un fidèle. Merci Bart pour ta confiance. Et il fallait en avoir de la confiance avant d’entamer cette campagne. Car plusieurs joueurs expérimentés, et non des moindres, Giovanni Silvestro, Jean-François Hanon (désormais désireux de se lancer dans la carrière d’adjoint-kiné ou de kiné-adjoint…), Dimitri Pletinckx (encore un kiné très, trop, occupé), Grégory Milquet, avaient déserté l’équipe de l’an dernier qui avait décroché la deuxième place et qui avait loupé, d’un cheveu, la place montante en… Nationale 1. Place aux jeunes avec les arrivées des Binchoux, Benjamin Van Dorpe et Ugo Blairon, encore junior et scolaire, de Souleymane Cisse (ex-UAAE) et de Yannick Jeronne (Gosselies).  Et après un échec contre Esneux et un autre en coupe interfédérale, la sauce pris et l’équipe aligna succès sur succès. Avec cependant un petit creux au cours de l’hiver. Mais Julien avait perdu sept kilos ! Et puis, il fallait gagner contre La Louvière, l’adversaire numéro 1.  Encouragée par presque toute l’équipe première, la jeune formation de Bart, où seul, avec ses 38 ans, Vdv faisait tâche dans la moyenne d’âge, décrocha le titre et put déboucher champagne. Au bar, Souli se laissa aller avec de la blanche et ne sait toujours pas comment il fit pour rejoindre la capitale. Lors du dernier match contre Tournai, Pajka dut réconforter son homme qui avait décidé d’arrêter sa carrière. Comme Billy en équipe 3.
L’équipe 3, justement parlons-en. Pour elle, une nouvelle saison, une recrue un peu molle au début, mais plus tojole aujourd’hui (Toffe le Maca) et finalement une nouvelle expression. Cette fois, il sera beaucoup question de tarte(s) ! Nicolas Jerkovic nous revient rien que pour nous. Et un autre Nivellois débarque. C’est Mano, mais il est président de la BW à LLN et aime le concours des bleus. Alors, parfois, il se permet de louper un match. Le premier match perdu 2-3 contre Messidor nous fait dire que nous avons loupé le coche, car le début de saison est plutôt chaotique. Normal, Rawoul ne fait plus confiance à son libéro emblématique !!! Et puis, l’équipe est triste sans Marc. Finalement, après deux défaites de tojole à domicile, le deuxième tour est bouclé avec un 9 sur 11 et encore deux fameuses claques aux anciens amis aclots de notre coach. Et alors, le terrible déplacement, peu gastronomique à Brousseval. L’équipe fait bloc lors et après cette partie remportée par un solide 0-3. Et cela devint le fameux band : « Rentre chez toi, ta mère a fait de la tarte… » Et bien, au retour aussi, attendus par tout le peuple de Mont-St-Guibert, les Broussevaliens, ils sont rentrés chez eux. Et l’an prochain, on ne les verra même plus.
Ah oui, l’équipe réalise un fameux parcours en coupe interfédérale. Jusqu’en quarts de finale à Bruges (une parole célèbre de notre entraîneur-coach : ce n’est pas parce qu’on est à Bruges qu’on doit faire dans la dentelle…) devant les caméras de la RTBF pour les Allumés.be. Encore et toujours à cause de Nollet. En fin de saison, Rawoul craque. Il ne voit plus assez son secrétaire à qui un méchant Bruxellois a croqué la patte. Du coup, il veut s’en aller dans la capitale yougoslave. Mais le temps fait réfléchir. L’éloignement de sa cafétéria préférée, sa surcharge pondérale, un renouveau de l’équipe et finalement une place de vice-champion décrochée au nez et à la barbe de son copain nivellois qui doit toujours sentir le filet lorsqu’il va se mettre en place pour faire la passe. Néanmoins, il est tellement déçu qu’il ne vient même pas au tour final pour l’éventuelle montée en Nationale 2 avec Dolhain et Bouillon. Eric est obligé d’obliger Koen, l’entraîneur de l’équipe 1, à venir. Comme il ne veut pas, Jean-Marc met même une voiture et un chauffeur à sa disposition. Et à Anhée, dans le jardin de Damien, après un début tonitruant contre Bouillon, les jeunes font gling gling,l ’arbitre perd les pédales, Langouste, revenu de l’équipe 2, s’énerve à juste titre. Et voilà , on est deuxième et on doit assister, impuissant à la joie des Liégeois. Jusque début juin, lorsque, suite à plusieurs transferts d’Orpois demandés par Eric, le club d’Orp décide de stopper son équipe. Voilà notre équipe 3 en Nationale 2. On pense tous à Marc. Raoul revit. Il se pointe même un soir à la cafétéria de MSG pour dépenser le maigre salaire octroyé par le club. Et rentre chez lui, sans tarte, en oubliant tous ses documents… Mais il connaît désormais tellement bien le chemin par cœur qu’il décide de rester. Ouf, Carine est rassurée quant à ses recettes du jeudi soir !
C’est aussi le titre pour la Provinciale 2. Non sans mal, car l’équipe, renforcée par les Macas, Marc Zwikel, un Guibertin et recrue de choix, et Yves Vanden Bemden, ainsi que par Frédéric Lemans et toujours Gilles Vande Kerckhove, parvint encore à user deux entraîneurs. Pascal Chaussée s’en alla pour être remplacé par Philippe Maquet, une vieille connaissance pour les plus anciens du club. Par contre, pour la P3 de Joe, c’est la déception. Voilà ce qu’il écrit :
Nous sommes arrivés à la fin de notre championnat (à part le match de classement) et l’heure des bilans a sonné.
…. Ce samedi 16 mars (à l’école des jeunes) Francis Bukenhout me croise et me dit, tout excité, que SGOttintois est complétement fou. Je lui demande ce qu’il se passe …. il me répond : « tu es aussi dans une équipe championne ? » Je n’ai pas pu lui répondre par l’affirmative. Le lendemain, dimanche 17, j’ai été voir la N2 qui jouait le titre face à La Louvière. Il y avait plus de monde que lors de certains matches de N1.
Mais si vous aviez vu l’ambiance d’après match ….. c’était extraordinaire. A propos, je n’ai vu personne de la P3 dans la salle où il y avait de loisirs, des P2, des N3 et beaucoup de N1 et surtout des spectateurs non joueurs !!!
Il me semble pourtant que la plupart des joueurs n’habitent pas trop loin de Mont-St-Blocry.
C’est à ce moment que j’ai réellement pris conscience que nous, petits joueurs de PIII, n’étions nulle part. Je peux vous dire que ça me faisait mal.
– la N1 est seconde du classement et risque fort probablement de monter en division d’honneur.
– la N2 est championne et monte en N1
– la N3 est seconde et risque fort probablement de monter en N2
– la P2 est championne et monte en P1
et la P3 dans tout cela ??????
Elle termine 4 ième et c’est tout. En jouant dans la plus basse des divisions, cette équipe a été incapable de jouer le premier rôle.
Contre des Jette, Nivelles et Boitsfort, nous avons réussi à montrer ce dont nous étions incapables.
Pourtant au fond de moi-même, je suis certain que nous pouvions venir à bout de chacune de ces équipes.
J’ose à peine évoquer les nombreuses démonstrations ratées contre d’autres équipes de la division (3-2 contre Star ice et Tubize) et les nombreux sets perdus.
Bien entendu, pour 36.000 raisons aussi valables que mauvaises (absence, vacance, blessure, nervosité, mental, …. coaching, entrainement), nous ne sommes pas arrivés au but fixé. Je peux vous assurer que maintenant avec le recul, je suis très …. très ….. et même très déçu.
Au lieu de fêter un titre ou une montée …. rideau, que dalle, schnoll, broquette, ….
Je ne sais pas si vous autres, les « plus jeunes » de l’équipe, avez connu l’exitation et la fête d’un titre ou d’une montée … mais Hugues et moi pouvons vous raconter
Alors, l’an prochain, cela doit être bingo !
Chez les jeunes, c’est aussi la folie. L’entraînement du mercredi après-midi attire près de 30 enfants, celui du samedi matin approche la centaine, il y a plus d’une dizaine d’entraîneurs, Georges ne sait plus où donner de la tête, Jean-Philippe Mommart, le nouvel entraîneur des loisirs, vient renforcer le staff organisateur, et Francis s’est remis à la course pour avoir le temps de distribuer à tous papiers et convocations.
Marc Lechien fait un boulot de fou avec les cadets. Une équipe géniale avec du caractère et de l’ambiance. Et surtout l’amour du volley. Et puis, il y a ces équipes de minimes et de pupilles. Bref, quel avenir… à condition de travailler ! Faute de combattants dans le Brabant, tout ce beau monde joue à Namur.
De nouveau, une dégustation à la tour de Corbais, mais cette fois le président est là . Puis le quizz musical organisé par Marc Lechien à la salle des Loisirs.
Notre plus fidèle sponsor est La Boulangerie Ardennaise, toujours présente avec son panneau depuis… 1986 !
Et en mai, c’est la fusion avec Perron suite au travail de Vincent Dewolf et de Edwin Vermeirren.
Nationale 1 : Fabian Belemans (29), Julien Caponi en double affiliation (18), Souleymane Cisse en double affiliation, ex-UAAE, (21), Jurgen De Vits (28), Stéphane Franchimont, ex-Walhain (26), Gert Geysels, ex-Wijgmaal (26), Vincent Hamelrijckx (24), Marc Heyndrickx, ex-Walhain (33), Marc Lechien (27), Laurent Malisoux (23), Jérôme Playoult, ex-UAAE (28), Eric Rebufa, ex-équipe 2 (28), Laurent Snackaert en double affiliation (22).
Entraîneur : Koen Hoeyberghs ; adjoint le mercredi Herman Vleminckx ; kiné : Jean-François Hanon ; médecin : Thierry Pirotte. Trois entraînements, le lundi, le mercredi et le jeudi.
Nationale 2 : Ugo Blairon, ex-Binche (en double affiliation), Julien Caponi, Souleymane Cisse, ex-UAAE, David Foret, Benjamin Hesbois, Jean-Luc Huijens, Yannick Jeronne, ex-Gosselies, Olivier Malisoux, ex-Belgrade, Gilles Mannaert, ex-Wavre et ex-Ottintois, Olivier Smal, Benjamin Van Dorpe, ex-Binche, Pierre Vander Vorst. Entraîneur : Bart Goossens. Deux entraînements, le mardi et le jeudi.
Nationale 3 : Pierre Brahy, Eric Davaux, Guy De Backer, Damien Gaussin, Nicolas Jerkovic, Jean-Willy Lardinoit, Arnaud Leroy, Yehudi Levy, Jean-Marc Nollet, Pierre Piret, Raoul Rekier, Manoël Rekinger, ex-Nivelles, Christophe Seelde, ex-Wavre, Laurent Snackaert.
Entraîneur : Raoul Rekier. Un entraînement le mercredi et un deuxième, pour les jeunes, le lundi avec Philippe Maquet.
Provinciale 2 : Colin Allemon, Pascal Chaussée (puis Philippe Maquet), Olivier Gerards, Frédéric Lemans, Anas Rachid, Zaeher Rachid, Frédéric Schaeff, Didier Smit, Gilles Vande Kerckhove, Yves Vanden Bemden, Yves Wiaux, Quentin Wijns, Marc Zwikel, ex-Wavre.
Entraîneur : Pascal Chaussée, puis Philippe Maquet. Un entraînement le jeudi.
Provinciale 3 : Robens Aimable, Joseph Damoczi, Laurent Desaintes, Cédric Dewaet, Cédric Fourneau, Jean-Louis Guérin, Jean-Michel Leclercq, Denis Matagne, Hugues Michaux, Jean-Philippe Mommart, Jean-Marc Peterkenne, Jean Plouhmans, Jean-Marc Procureur, Dene Rachid, Yves Rachid, Xavier Waerenburgh.
Entraîneur : Joseph Damoczi et Jean-Louis Guérin. Un entraînement le mercredi.
Provinciale 3 Jeunes : Maury Clerck, Michaël Daco, Renaud Derue, Mathias Gérard, Patrick Gérard, Philippe Maquet, Nicolas Matthys, Olivier Michaux, Martin Monnart, Bastien Soete, Aurélien Somers, Simon Tollenaere, Simon Van Schingen.
Entraîneur : Marc Lechien. Deux à trois entraînements, le lundi, mercredi, jeudi et vendredi.
Les loisirs : Vincent Bertrand, Isabelle Aernout, Raymond Clerbois, Laurence Heymans, Paul Heymans, Anne Hojka, Christiane Janssens, Pascal Kaisin, Pierre Jeanjean, Corinne Leyssen, Stéphane Lambert, Pajka Schmidt, Didier Longtain, Roger Matagne, Philippe Piette.
Entraîneur : Jean-Philippe Mommart. Un entraînement le lundi.
Les cadets : Maury Clerck, François Clerens, Yannick Desagher, Romain Duyckaerts, David Goffinet, Gilles Hector, Adrien Michaux, Cédric Verleysen, Christophe Vô.
Entraîneur : Marc Lechien.  Deux à trois entraînements, le lundi, mercredi, jeudi et vendredi.
Les équipes de jeunes :
Les minimes : Pierre Cantraine, Arnaud Ceresiat, Thomas Colin, Damien Lecat, Alexandre Orban, Jérémy Tydgat, Vincent Van Laethem, Rémy Zwarts.
Les minimes filles : Mélanie Duquenne, Clémentine Georges, Alizée Larsimont, Virginie Mernier, Sarah Martin. Coach : Jean-Philippe Mommart.
Les pupilles :
- équipe A : Thomas Davaux, Gilles Dillien, Max Knudsen, Yannick Simons, Sébastien Van Melick.
- équipe B : Florian Barthélémy, Justin Davaux, Renaud Dillien, François Lecat, Martin Wuille.
- équipe C : Maxime Antoine, Angelo Di Marzio, Simon Ernst, Alex Féaux, Florent Klein.
Les pupilles filles : Hélène Damoczi, Justine Houdmont, Marion Louche, Marie Vander Vorst, Elisabeth Vanderhaegen.
Le conseil d’administration : Pierre Vander Vorst (président), Jean-Willy Lardinoit (vice-président), Eric Davaux (secrétaire-trésorier), Guy De Backer, Benjamin Hesbois (membres).
Les résultats :
- Nationale 1 : vice-champion en série A et vainqueur du barrage contre Eisden ; première réserve pour l’accession en division d’honneur.
- Nationale 2 : champion de Nationale 2 et montée en Nationale 1.
- Nationale 3 : vice-champion en série A et montée en Nationale 2.
- Provinciale 2 : champion et montée en Provinciale 1 ; champion en réserves.
- Provinciale 3 : 4ème.
- Provinciale 3 (Jeunes) : 7ème.
- Juniors : champion du Brabant, vice-champion francophone et 4ème au championnat de Belgique.
- Cadets : champion du Brabant, 5ème (sur 9 équipes) dans la série A de la LAC (Ligue AIF des Cadets) et 4ème au championnat francophone.
- Minimes : champion invaincu du Brabant et 5ème au championnat francophone.
- Pupilles : champion du Brabant et 5ème au championnat francophone et 2ème au premier Masters des jeunes de l’AIF à Loncin.
- Minimes filles : vice-champion du Brabant et 2ème de la poule C du championnat namurois
- Pupilles filles : champion du Brabant et dernière de la poule B du championnat namurois (mais on commence…)
Le Botroul : Joseph Damoczi.